C’est une pratique ancestrale des Yogis d’ Inde. Tout comme le brossage des dents le lavage du nez devrait être employé quotidiennement.

Comment le faire ?

Il s’effectue avec le « lota » ou « rhino horn ». Il s’agit d’un petit instrument en forme de théière avec un embout spécial qui s’adapte à vos narines grands et petits (dès l’âge de 2 ans) et permettant le passage de l’eau dans le nez.

Pourquoi et pour qui ?

Le nettoyage du nez est bon pour tous ! Recommandé par des médecins ORL.
C’est une hygiène nasale irremplaçable pour le bon fonctionnement de vos muqueuses sinusiennes qui fait l’effet d’une douche intérieure. Son but, nettoyer chaque conduit nasal avec l’ajout d’eau tiède à 37°. On y ajoute quelques gouttes d’hydrolats (lavande, romarin, thym, eucalyptus) pour un effet antiseptique ou de la fleur de sel marin et du chlorure de magnésium (Nigari) pour un drainage de la sphère ORL et de l’organisme, pour désencombrer et nettoyer le nez en douceur. L’eau tiède salée (ou avec des hydrolats) stimule les capacités naturelles «auto-nettoyantes» des voies respiratoires. Elle améliore l’évacuation des mucosités, des poussières et du pollen présents dans les voies respiratoires.
L’irrigation nasale est l’une des meilleures solutions pour drainer les sinus et les débarrasser du mucus nasal.

Quels sont les indications ?

Le saviez vous: les sinus donnent le timbres de la voix, alors prenons-en soin !

le lavage par le « Rhino Horn » ou au « Lota » constitue un excellent complément de soin et un moyen de prévention contre les affections du nez et des voies respiratoires. Ces indications:

• Trouble ORL: Rhinopharyngite, rhinites, sinusites et rhumes, etc. 

• Lutte contre la pollution

• Amélioration de la respiration
• Lors d’allergies

C’est un moyen très efficace dans la prévention et les soins de la sinusite et constitue également un complément très utile dans les soins des sinusites chroniques. Les personnes allergiques aux pollens et aux poussières voient, très souvent leur gêne diminuée en se lavant le nez avec de l’eau salée.

Quand faire le lavage ?

Le « Lota » ou le « Rhino Horn » peuvent être utilisé tous les jours, matin et/ou soir. Sa périodicité varie selon l’état général et la pathologie. Lorsque l’on est enrhumé ou qu’on souffre d’une sinusite, pendant les périodes où les pollens sont nombreux et le risque d’allergie accru. Dans ces cas là il préférable de faire au minimum 2 lavages par jour. En temps normal un lavage par jour suffit.

Mode d’emploi:

1. Remplissez le Rhino Horn avec de l’eau à la température corporelle (37°).

En cas de doute sur la qualité de l’eau du robinet, faites la bouillir brièvement et laissez la refroidir à la température du corps. Si la qualité de l’eau est sûre, servez vous directement du robinet d’eau chaude. L’eau douce et froide irrite les muqueuses. Par conséquent, l’eau utilisée pour le lavage de nez doit être un peu salée et à température corporelle.

2. Ajoutez 1 mesure de fleur sel naturel bio et/ou ajoutez 1/2 mesure de Nigari.

Utiliser la dosette fournie incluse dans la boite. Attention à bien respecter la quantité de sel contenue dans la dosette.

4. Videz votre nez

Versez la moitié de l’eau et redressez-vous. Un peu d’eau s’écoulera de votre nez. Mouchez vous très doucement, une narine à la fois. En soufflant trop fort, vous risquez de vous boucher les oreilles. Versez le restant de l’eau dans l’autre narine en suivant la même procédure. Assurez-vous qu’il ne reste plus d’eau dans votre nez après le lavage.

vous pouvez Faire le test suivant : penchez-vous la tête vers le bas, tournez votre tête, fermez la narine qui est vers le bas et soufflez pas trop fort par l’autre narine. Faites-le avec précaution pour ne pas boucher vos oreilles. Répétez de l’autre coté, le tout plusieurs fois.

Si vous le souhaitez je vous invite à visionner ces vidéos explicatives:

Vidéo pour les enfants : https://www.youtube.com/watch?

Vidéo pour les adultes: https://www.youtube.com/watch?v=sGUK-JKkecs&feature=emb_logo

Les Coronavirus (Cpv) sont des virus issus de la famille des coronaviridae, dont la particularité est de posséder un génome à ARN très long (l’acide ribonucléique permet le transport du message génétique et la synthèse des protéines). Ces germes sont entourés d’une capsule de protéines en forme de couronne, d’où leur nom.

Certains Coronavirus infectent différents animaux, d’autres l’homme. Ils sont à l’origine d’un large éventail de maladies. Chez l’homme, ces maladies vont du rhume banal à une infection pulmonaire sévère, responsable d’une détresse respiratoire aiguë. Deux épidémies mortelles ont déjà eu lieu, impliquant des coronavirus émergents, hébergés par des animaux et soudain transmis à l’homme :

par des animaux et soudain transmis à l’homme :
-le SRAS-CoV (2002-2003), ou coronavirus à l’origine d’un syndrome respiratoire aigü sévère (SRAS), apparu en Chine : plus de 8 000 cas ont été dénombrés dans 30 pays et 774 personnes sont décédées (soit près de 10% de mortalité).

-le MERS-CoV (2012-2013), ou coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient, ainsi appelé car il a été détecté pour la première fois en Arabie saoudite. 1 589 cas et 567 décès dans 26 pays ont été enregistrés (soit un taux de mortalité d’environ 30%).

Comme le SRAS-CoV et le MERS-CoV, le COVID-19 a très probablement une origine animale. Des chercheurs ont évoqué la piste du serpent.
Jamais observé jusque-là, ce virus a été identifié par la Chine le 7 janvier 2020 suite à un cas de pneumonie déclaré le 31 décembre 2019. « Les coronavirus sont zoonotiques, ce qui signifie qu’ils sont transmis entre les animaux et les humains », explique l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). C’est le « septième coronavirus capable de donner des manifestations cliniques chez l’humain », explique Arnaud Fontanet, responsable de l’unité d’épidémiologie des maladies émergentes à l’Institut Pasteur à Paris. Selon les estimations du 12 mars, plus de 124100 cas ont été recensés dont 55 450 personnes sont guéries et les chiffres sont en évolution exponentielle. En France, plus de 2300 cas.

Pour rappel la maladie reste bénigne dans 80 % des cas et les chercheurs estiment le taux global de mortalité à environ 3,2%. Les symptômes les plus courants, semblables à ceux d’une grippe sont la fièvre, la fatigue ou une toux sèche. Certaines personnes peuvent également souffrir de courbatures, de maux de tête, d’une sensation d’oppression ou d’essoufflement. Ces symptômes évoquent une infection respiratoire aiguë ou des anomalies pulmonaires. Dans les cas plus graves, l’infection peut provoquer « une détresse respiratoire, une insuffisance rénale aiguë, voire une défaillance multiviscérale pouvant entraîner la mort », indique le ministère de la Santé.

Au final et afin d’arriver à contenir l’épidémie, il faut trouver sa source, c’est-à-dire les animaux qui sont les réservoirs du virus. Cela pourrait permettre de savoir si des foyers existent dans d’autres marchés que le premier, et de prendre de nouvelles mesures. Dans le cas du SRAS début 2000, c’est en interdisant la consommation des civettes que l’épidémie a été contenue

source: https://www.synerj-health.com